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Les trois femmes ont a nouveau témoigné et affirment les agression sexuels de Donald Trump

 Les trois femmes  ont a nouveau témoigné et affirment les agression sexuels de Donald Trump






 Trois femmes qui avaient déjà accusé Donald Trump de comportement sexuel inapproprié l'année dernière, ont à nouveau témoigné ce lundi 11 décembre contre le président américain. Elles ont aussi réclamé l'ouverture d'une enquête au Congrès, l'une d'entre elles faisant notamment état d'un baiser forcé.

Ces accusations interviennent alors que l'ambassadrice américaine à l'ONU vient d'expliquer que les femmes qui se sentent victimes de comportement déplacé doivent avoir le droit d'être entendues officiellement, y compris lorsqu'elles s'en prenaient au président des États-Unis.

Les trois femmes, dont l'âge varie d'une trentaine d'années à plus de 70 ans, avaient déjà témoigné lors de la campagne présidentielle américaine de 2016. Elles s'exprimaient lundi dans "Today", l'émission matinale de la chaîne NBC animée par Megyn Kelly, et la Maison Blanche a immédiatement qualifié leurs témoignages de "fausses accusations".


Baiser forcé et mains baladeuses

Selon les correspondants de la presse américaine à Washington, un porte-parole de la Maison Blanche a ainsi démenti au moment même de la diffusion de l'émission. "Ce sont des accusation fausses, contestées dans la plupart des cas par des témoins directs et dont on a déjà parlé l'an dernier durant la campagne présidentielle." Et d'ajouter que "le timing et l'absurdité de ces fausses déclarations, ainsi que l'écho et l'ampleur qu'elles prennent, montrent bien qu'elles sont motivées politiquement."

Au cours d'une interview donnée le 10 décembre à CBS, l'ambassadrice américaine à l'ONU et voix de Donald Trump devant l'institution, Nikki Haley, avait expliqué qu'elle souhaitait que les accusatrices dans ce genre de cas puissent être entendues officiellement. "Je suis fière de leur force, fière de leur courage", avait-elle déclaré, expliquant que même les accusations à l'encontre du président devaient être prises au sérieux et faire l'objet d'enquêtes.

"Je crois que chaque femme qui s'est sentie violée ou mal traitée de quelque manière que ce soit doit avoir le droit de parler et de se faire entendre. Et pour le président, c'est la même chose." Au cours du mois écoulé, trois membres du Congrès, l'une des chambres du parlement américain ont donné leur démission après avoir été la cible d'accusations de harcèlement et d'inconduite sexuels.


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